Suite des épisodes précédents :  Fantasme quand tu nous tiens et  #jeudiconfession (suite) : un de mes fantasmes

Mon mari me fait signe de "remonter" à table. Ce que je fit. Mais je suis toujours nue, lui fait je remarquer. Pas grave me répond il tu n'as pas besoin de vêtements pour manger. Et en me disant cela, je remarque que la porte qui fermait notre salle était ouverte, m'offrant à la vue des autres convives.

Le repas continuait, les serveurs venaient nous servir, mon mari se faisait un malin plasir de faire tomber tel ou tel aliment sur moi, de façon à ce que le serveur me "nettoie".

Nous arrivons au dessert et mon mari me dit : "le dessert : c'est toi". Il se lève, il me fait me lever, me met un bandeau et me fait marcher (je suppose en dehors de la pièce). Il me dit de rester sans  bouger. Je sens des mains, des lèvres qui me touchent. une main, deux, trois quatre mains, une bouche, deux puis trois.

L'excitation est à son paroxisme. Une doigt s'introduit dans ma vulve, me caresse le clitoris, puis voyage vers l'intérieur de mon sexe. Un deuxième doigt touche mon anus, je commence à trembler (un peu de peur je dois avouer). Tout à coup, je suis prise par plusieurs personnes et allongée sur une table , mes jambes sont relevées, et je ne peux que constater qu'on me baise, car oui c'est le mot, je suis baisée. Je fais confiance à mon mari, il n'a laissé faire que si tout va bien. Je sens un pénis généreux en moi. Les autres mains continuent de me caresser et pendant que je sens les aller retour de mon inconnu dans mon sexe, des doigts s'introduisent dans mon anus. J'ai les jambes écartées, et je ne mettrai pas longtemps à jouir.

La scène s'est déroule ainsi pendant un certain temps (j'avais perdu la notion du temps mais cela me paraissait infini). J'entendais à coté des cris d'une autre fille qui devait "subir" le même sort.

Quand celà fut finit, mon mari m'enlève le bandeau et suprise, plus un chat dans le restaurant, les gens étaient partis aussi vite qu'ils n'étaient venus.

Honteuse, je me rhabillait et nous retournâmes à la voiture sans mot dire.

Suite de la semaine précédente :  Fantasme quand tu nous tiens

Me voilà enfin habillée, enfin habillée de peu car je n’ai pas l’habitude d’être ainsi vêtue. Mon mari, toujours caméra en main me filme sans discontinuité, il me dit d’avancer, il se met derrière moi, à quelques mètres, je sens sa présence, mais pas seulement, une voiture qui m’a vue nue dans la rue nous suit. Mon mari me demande de relever un peu le bas de ma robe, pas besoin de beaucoup car j’ai des formes et la robe se relève naturellement. Mais je le fais quand même. Je sens le vent frais me touchant les fesses. Je prends mon courage à deux mains, je me retourne vers mon mari, et je relève complètement ma robe pendant 10 secondes, laissant apparaitre mon corps nu aux passants et voitures. 

Nous arrivons devant un restaurant, mon mari me prend par le bras, et m'emmène dans celui-ci. C'est un cadre luxuriant très Louis XIV, très baroque. Le serveur reconnait mon mari (oups, il est déjà venu ?), et il nous emmène dans le salon privé... Ouf nous sommes seuls. Une bouteille de champagne nous attend.

Le serveur nous demande de nous mettre à l'aise (euh oui moi je ne suis de toute manière pas à l'aise). Mon mari me dit alors d'enlever mon string si je veux être à l'aise. Je suis dans l'embarras, mais je le fait. Se faisant, le serveur voit mon minou rasé. Un souriire se lit sur son visage.

Il nous sert un verre de champagne et s'eclipse en nous laissant la carte. Mais il laisse la porte du salon ouverte, je vais la fermer et mon mari de demande de rester à table. Je n'ai pas à prendre cette décision. IL me le dit d'un ton péremptoire. Je suis surprise par ce ton. Mais je vois dans son regard qu'il a décidé de me soumettre à ses désirs. Je crans le pire mais je décide de le laisser faire. Pourquoi ? Parcequ'au fonds de moi celà m'excite de ne pas décider.

Mon mari choisi nos plats, nous discutons de choses etd'autres, j'essaie d'aborder notre soirée mais il coupe de suite la discussion. L'entrée arrive. Mon mari me dit alors : si tu veux manger, tu vas devoir passer sous la table et rahoute "enlève ta robe". J'enlève ma robe, je suis nue comme un vers devant le servaur qui était resté pour nous demander de choisir le vin. MOn mari le choisi pendant que je lui mange sa queue. Gouluement et avec plaisir.

La suite la semaine prochaine (vous commencez à avoir l'habitude).

Oui la semaine est longue surtant quand le temps n'est pas de la partie

A partir de ce soir on s'éclate

On fait la fête

On se la pète

On s'envoie en l'air

Voila c'est tout pour ce matin. RDV cette après midi pour une vidéo chaude... très chaude